“Etudier le japonais ? D’accord mais comment ? Ca a l’air tellement monumental ! Par quel bout commencer ? Je vais me perdre dans la jungle de l’écriture. Je ne suis déjà pas très doué en anglais, alors en japonais… Le vocabulaire, je n’en parle même pas et puis tout le reste… Malgré ces doutes et ces craintes, j’ai vraiment envie d’essayer.”, se dit intérieurement le vrai débutant motivé.


“Moi, j’ai essayé. Malgré tous mes efforts et ma bonne volonté, j’ai calé en route en raison d’une saturation générale. Je ne retenais plus rien. Ah quoi bon ?!”
, se dit souvent le faux débutant dépité.


Pourquoi croire que le japonais serait plus difficile qu’une autre matière telle que les mathématiques, la physique, la musique…? Pourquoi penser que le japonais serait intellectuellement plus inaccessible qu’une autre discipline ? Si on assimile la connaissance à un édifice, pourquoi ne pas tenter d’appliquer au japonais une méthode d’enseignement rationnelle et constructive à l’image d’un plan de construction ?


Ayant été à la place de ces deux profils d’élèves et étant une personne normalement constituée, sans faculté intellectuelle particulière, je comprends parfaitement la légitimité de ces questions et le ressenti des étudiants en difficulté. En effet, je dois perpétuellement me battre contre moi même et les vicissitudes de la vie pour me maintenir à niveau, voire renforcer mes compétences.


Cette vidéo présente donc la méthodologie pédagogique mise en oeuvre durant mes cours. Mon approche se fonde sur mes expériences de perpétuel étudiant et de formateur en japonais.


Ici, j’expose humblement une recette qui fonctionne dans le but :

– d’aider les étudiants en recherche de méthodes ;
– de redonner du courage à celles et à ceux qui se sentent perdus ;
– d’alimenter la réflexion des professeurs ;
– d’encourager l’échange constructif de toute la communauté des japonisants.


Bonne vidéo !

Pascal